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La dĂ©couverte de cet "art" m' a stimulĂ© et complĂštement subjuguĂ©.Â
Pour certains, s'exprimer devant une assemblée est naturel. Pour d'autres, mieux vaut s'entraßner.
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MĂȘme les meilleurs orateurs se prennent parfois les pieds dans le tapis. DĂšs les premiĂšres phrases on bute sur un ou deux mots, on balbutie piteusement quelques borborygmes et on se met Ă bafouiller. On nâarrive tout simplement plus Ă penser et Ă parler en mĂȘme temps, on perd le fil, on sâessouffle... .
Câest la catastrophe face Ă un auditoire qui devient mal Ă lâaise devant vos souffrances. Pour abrĂ©ger vos tourments, voici des exercices incontournables.
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Travailler et développer son souffle en trois temps
Pour exceller dans lâart du discours, comme tout sportif, il faut savoir sâentraĂźner, tout en sâamusant et en prenant du plaisir. Il est donc impĂ©ratif de comprendre lâintĂ©rĂȘt de pratiquer ces exercices et de conserver le cĂŽtĂ© ludique pour trouver des temps de rĂ©pĂ©tition et de prĂ©paration. Sinon, on trouve toujours les meilleures excuses du monde pour sâen dispenser⊠Il faut donc se persuader que la parole "câest un mĂ©tier", que je sois manageur ou simple intervenant Ă quelques occasions. Un bon discours, une prise de parole percutante, peuvent transformer une vie.
Les exercices de respiration vont notamment vous permettre de porter votre voix. Car sans voix, pas dâautoritĂ© naturelle, pas d'affirmation, pas de leadership. Il est donc prĂ©pondĂ©rant de possĂ©der un volume sonore suffisant pour tenir une phrase sur sa longueur, sans baisser la voix. Et pour que les cordes vocales restent au diapason, ne forcent pas, câest un vĂ©ritable travail sur sa respiration quâil faut effectuer.
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Découvrez les conseils prodigués par Didier Bras, (consultant en communication interpersonnelle et intervenant, responsable pédagogique de l'Ecole Arts oratoire, éloquence et rhétorique de Sciences Po)
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Travailler et développer son souffle :
- respirer avec le ventre
- entraĂźner sa bouche
- répéter des phrases de diction
- chauffer sa voix le stylo dans la bouche
- forcer sa bonne humeur
- se décontracter
- s'Ă©chauffer le visage (par des grimaces assouplissantes)
- faire des essais sonores
Au final, sachez quâil y a deux Ă©lĂ©ments quâon ne pardonne pas Ă un orateur : un manque de compĂ©tence lorsque lâon ne connaĂźt pas son sujet et⊠lâennui !
DĂ©finition de lâĂ©loquence
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 Lâ Ă©loquence est lâart de toucher et de persuader. VoilĂ pourquoi elle nâest pas quâimages fortes et naturelles, que sentiments pathĂ©tiques, que raisonnements frappants, quâexpressions vives, que traits enflammĂ©s, quâelle jette dans lâĂąme de ses auditeurs.
Il semble quâelle seule connaĂźt les ressorts qui peuvent nous Ă©branler, nous Ă©mouvoir. Toutes nos passions sont entre ses mains, elle les irrite et les apaise Ă son grĂ©.
Lâhomme Ă©loquent nâest ni celui qui produit une longue suite dâidĂ©es, qui les classe, qui les enchaĂźne, qui les Ă©nonces avec clartĂ©, justesse et biensĂ©ance, ni celui qui les agrandit en les dĂ©veloppant, ni celui qui les pare de grĂąces de lâĂ©locution, qui les anime par des figures, qui les colores par des images, et qui, par le charme du nombre, flatte lâoreille en mĂȘme temps; câest celui qui possĂšde et met en Ćuvre tout ces talents, et qui en mĂȘme temps, du cotĂ© de lâĂąme, connaĂźt le fort et le faible, sait toucher Ă lâendroit sensible et fait mouvoir Ă son grĂ© tous les ressorts des passions.Â
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Lâ Art Oratoire ---------------->  lâAssurance Oratoire:
 Savoir se positionner dans le sujet :
 - lâ intonation
 - le choix des mots                 đŁ
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 - la concision des propos
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 Le maßtriser ! --------------------->  Le  MOI
 " Afin de mener çà rondement et que cela reste carré"
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 M  comme   MOTIVATION
 O  comme  OBJECTIF          đ
 I   comme   INTENTION            Â
 Références à observer pour discourir !
              La communication prend alors toute son importance
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l' ART ORATOIRE prend tout son sens et sa rĂ©alitĂ© lorsque y sont adjointes la RhĂ©torique et l' Ăloquence.
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Ces méthodes réunies conditionnent l'expression orale et le style de l'élocution.
démarrez la video ci-dessous :
Comment améliorer votre diction ?
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Voici 7 conseils pour optimiser votre diction, ĂȘtre mieux compris et vous imposer sans forcer.
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1 - Activer lâexpression du visage.
Le visage parle avant les mots
2 - DĂ©tendre la mĂąchoire
La mùchoire est souvent la prison des mots. « Muscler les dents »
Câest dans les dents que se joue le mordant
3 - Impacter les consonnes.
Ouvrir les voyelles Les voyelles et les consonnes sont la matiĂšre vivante du langage
4 - GĂ©rer la pression dâair en rapport avec le message
La qualité de notre diction est contenue dans le mot : Ex-pression
5 - Ătre attentif Ă son interlocuteur
6 - Prendre le temps de dire pour ĂȘtre compris.
7 - « Attaquer » chaque phrase par une intonation forte
Chaque phrase recommence lâhistoire pour accrocher lâintĂ©rĂȘt
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Comment repérer une mauvaise diction :
les signes extérieurs
Vous pouvez vous interroger sur la qualité de votre diction dans de nombreux cas, par exemple :
- Dans la mĂȘme journĂ©e on vous fait rĂ©pĂ©ter entre 5 et 10 fois
- Vous avez beau expliquer et expliquer encore votre interlocuteur ne vous comprends pas
- Plus vous parlez, plus câest brouillon
- Vous avez lâimpression de parler Ă des « idiots incompĂ©tents » qui ne font pas dâefforts
- En groupe, vous nâarrivez pas Ă imposer vos idĂ©es
La diction :
posture ou signature ?
En effet parler trop vite ou « manger ses mots » nâest pas toujours de votre faute. LâĂ©cole ne nous apprend pas Ă bien dire, au contraire des amĂ©ricains qui sâentrainent Ă lâoral dĂšs lâenfance.
Devenir Ă©loquent et avoir une bonne Ă©locution nĂ©cessitent de lâentraĂźnement.
Ăa oblige aussi Ă penser que bien parler fait partie des outils de la rĂ©ussite sociale.
Cela nous enseigne que la diction est une posture et une signature.
- Posture, parce que dans la maniĂšre de dire on entend une certaine tenue qui fait la diffĂ©rence entre sâexprimer et marmonner.
- Signature, parce que la façon dâarticuler nous dit tout de suite le niveau social, culturel, le caractĂšre, la confiance en soiâŠ
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Beaucoup de personnes pensent que la diction est une affaire de technique vocale uniquement. Quâil suffirait de quelques exercices avec un crayon entre les dents pour avoir un phrasĂ© de prĂ©sentateur tĂ©lĂ©. Câest un peu court !
Certes câest mieux que rien, mais la diction va beaucoup plus loin et nous engage physiquement : elle se voit sur le visage (fermĂ©), elle sâentend dans les mots (prĂ©cipitĂ©s) et mĂȘme dans la respiration (courte)
Activer lâexpression du visage
Lâexpression du visage prĂ©cĂšde lâĂ©noncĂ© des mots. Avec une expression vivante vous allez amĂ©liorer durablement votre diction et augmenter vos chances de succĂšs.
En effet on nâa pas envie dâun interlocuteur morose, indiffĂ©rent ou triste.
Notons que beaucoup de gens « font la gueule » involontairement. Parce quâils sont dans leur tĂȘte, dans leurs soucis dans les factures du gaz, ou ailleurs⊠mais le public nâa pas Ă en souffrir.
Un visage figĂ©, une bouche serrĂ©e produisent des sons enfermĂ©s et une diction pauvre. Donc une voix souvent monocorde qui oblige lâinterlocuteur Ă tendre lâoreille ou Ă faire rĂ©pĂ©ter.
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DĂ©tendre la mĂąchoire
La mĂąchoire est le lieu de crispation de toutes nos peurs, nos soucisâŠ(«serrer les dents»).
Câest aussi la partie la plus animale de notre corps et qui nous rappelle Ă notre condition de mammifĂšres carnassiers.
Une mĂąchoire crispĂ©e câest une parole enfermĂ©e et une diction bloquĂ©e et confuse.
ConsĂ©quence : des cordes vocales qui travaillent plus en poussant, pour compenser le manque dâouverture de la bouche. Dâ oĂč une voix plus haute ou une parole plus rapide et plus de fatigue en gorge.
Rappelons que la mĂąchoire, la mandibule, est reliĂ©e par son articulation Ă toute la musculature du dos donc Ă lâexpression tout entiĂšre de la personne.
Prise de parole en public :
comment ne pas se planter devant son auditoire ?
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Quand nous sommes amenĂ©s Ă prononcer un discours, nous avons tendance Ă vouloir trop bien faire. Et ce afin de conjurer le trac ou par simple perfectionnisme. Immanquablement, nous finissons par mal faire. Pour retrouver la sĂ©rĂ©nitĂ© et lâefficacitĂ©, il convient de corriger principalement deux travers.
1 - Trop préparer son intervention
Tout le monde sâaccorde Ă dire quâune intervention rĂ©ussie (« impactante », pour parler comme les professionnels de le comâ) passe nĂ©cessairement par une phase de prĂ©paration importante. Câest vrai. Il est mĂȘme conseillĂ© de rĂ©diger le discours Ă la virgule prĂšs. LâĂ©tape suivante consiste Ă connaitre le texte sur le bout des doigts.
Se rĂ©fugiant dans le par cĆur, nous nous estimons Ă lâabri de toute contre-performance. Quelle erreur ! Agir de la sorte, câest rĂ©vĂ©ler un double manque : un dĂ©ficit de confiance en soi et dâappropriation du fond de lâintervention. Câest surtout se donner les meilleures chances de « se planter », avec les meilleures intentions du monde. Une objection venant de lâassemblĂ©e, un trou de mĂ©moire⊠et lâintervention tombe Ă plat ou coule Ă pic.
Une intervention devant un auditoire doit toujours laisser une place Ă lâimprovisation. « Savoir par cĆur n'est pas savoir : c'est tenir ce qu'on a donnĂ© en garde Ă sa mĂ©moire. Ce qu'on sait droitement, on en dispose, sans regarder au patron, sans tourner les yeux vers son livre », affirmait Montaigne dans ses Essais. Ănonner notre discours nous coupe de ceux auxquels nous sommes censĂ©s nous adresser.
On ne peut, au mĂȘme moment, ĂȘtre Ă la fois lâauteur et lâinterprĂšte de son discours.
Pour remĂ©dier Ă cet Ă©cueil â et câest peut-ĂȘtre lĂ le plus difficile - il faut savoir se faire confiance. Une connaissance approfondie de ce dont on parle alliĂ©e Ă un « simple » fil conducteur suffisent pour surmonter lâexercice dans de bonnes conditions. « Ce qui se conçoit bien s'Ă©nonce clairement. Et les mots pour le dire arrivent aisĂ©ment ». Rien de plus juste que cette formule cĂ©lĂšbre de Boileau quand il sâagit de discourir. Improviser tout en sachant oĂč lâon va, prendre ses distances avec son texte pour se rapprocher de son auditoire, voilĂ ce vers quoi doit tendre tout apprenti orateur soucieux de se perfectionner.
2 - Penser que certaines attitudes sont purement et simplement rédhibitoires
- Croiser les bras, câest signifier son opposition au groupe, et mĂȘme son hostilitĂ©.
- Les ranger le long du corps, câest faire montre de sa rigiditĂ©. - Mettre ses mains dans les poches, cela peut ĂȘtre interprĂ©ter comme du je-mâen-foutismeâŠ
Ceux qui parmi vous ont dĂ©jĂ suivi des stages de prise de parole en public savent Ă quel point certaines attitudes sont prohibĂ©es. Les formateurs pointent les dĂ©fauts Ă corriger pour mettre en cohĂ©rence le message que lâon vĂ©hicule et lâimage que lâon donne. Face Ă un auditoire, il y aurait donc une bonne façon de se tenir et une bonne maniĂšre de dire, câest-Ă -dire un ensemble dâĂ©lĂ©ments codifiĂ©s Ă respecter impĂ©rativement. Ce nâest pas faux, mais cela mĂ©rite dâĂȘtre nuancĂ©.
Ce qui compte avant tout quand on sâexprime devant un public, câest la sincĂ©ritĂ©. Cette derniĂšre mĂšne Ă lâexactitude, comme lâĂ©crit le prix Nobel de littĂ©rature Gao Xingjian. Lâexactitude, câest la triple coĂŻncidence de ce que lâon est, de ce que lâon donne Ă voir et de ce que lâon dit.
Ăviter Ă tout prix de singer des postures aussi mĂ©caniques quâattendues, ne ressembler Ă personne dâautre quâĂ soi, voilĂ la rĂšgle. PlutĂŽt que de rester constamment focaliser sur ses mimiques et ses mots en sâinterrogeant constamment sur leur bien-fondĂ©, portons notre attention vers ce qui importe vraiment : lâauditoire et la maniĂšre dont il rĂ©agit.
Il est donc possible, pour ne pas dire convenable, de sâadresser Ă un public les bras croisĂ©s ou les mains dans les poches. A condition cependant de ne pas ancrer cette attitude dans la durĂ©e. Il en va de nos gestes comme de nos paroles : certains se transforment en tics. A chacun dâentre nous de les apprivoiser pour se soustraire Ă leur pernicieux pouvoir. Ce qui est Ă bannir, câest plus la persistance de certains comportements plutĂŽt que ces comportements eux-mĂȘmes.
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Tout cela se travaille par la confiance en soi et lâestime de soi. Ces derniĂšres peuvent naĂźtre dâun simple constat qui agit souvent comme une rĂ©vĂ©lation : quand nous prenons la parole devant un groupe, les personnes auxquelles nous nous adressons sont plus bienveillantes que nous ne lâimaginons. Une bienveillance bien supĂ©rieure Ă celle dont nous faisons preuve envers nous-mĂȘmesâŠ
Bordeaux ce 21 Mai 2019
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Lâ URIOOPSS Nouvelle-Aquitaine organisait la premiĂšre Ă©dition des rencontres rĂ©gionales de son rĂ©seau, en prĂ©sence de Philippe NAUCHE, vice-prĂ©sident du conseil rĂ©gional et de Michel LAFORCADE, Directeur GĂ©nĂ©ral de lâ ARS Nouvelle-Aquitaine.
InvitĂ© Ă participer au colloque URIOOPSS ce 21 Mai 2019 en tant quâ Usager de lâ ANPAA- BĂ©arn.Soule, jâai Ă©tĂ© sollicitĂ© pour tĂ©moigner publiquement du suivi et de lâ accompagnement thĂ©rapeutiques dispensĂ©s par les Ăducateurs.
Vous trouverez ci-dessous mon tĂ©moignage auprĂšs de lâanimateur de ces rencontres et de l'assemblĂ©e constituĂ©e de professionnels de la santĂ©, d'associations mĂ©dico-sociales, de thĂ©rapeutes, d'Ă©ducateurs, et d'usagers de ces associations.
Jean-Claude
LES MOTIVATIONS D'UN DES USAGERS de lâ ANPAA Bearn-Soule :
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- Comment avez-vous rejoint lâ Anpaa ?
HospitalisĂ© aux urgences du C.H Pau jâai Ă©tĂ© contactĂ© par lâE.L.S.A (Ăquipe de Liaison et de Soins en Addictologie) et invitĂ© Ă intĂ©grer le centre Hauterive voisin pour une tentative de sevrage addictologique durant trois semaines.
En acceptant cette nouvelle hospitalisation je participais Ă divers ateliers de suivi des addictologies expliquant les mĂ©canismes des traumatismes et comment y remĂ©dier.Ce suivi Ă©tait accompagnĂ© dâun soutien psychiatrique.
Au sortir de ce sĂ©jour, jâĂ©tais conseillĂ© et orientĂ© vers lâ ANPAA BĂ©arn-Soule pour un suivi et un accompagnement thĂ©rapeutique dans le but de concrĂ©tiser un sevrage ferme et rĂ©el.
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- Pourquoi la crĂ©ation dâun Blog ?
Pris en charge par lâAnpaa Bearn Soule, jâai participĂ© Ă leur programme « Ateliers dâEtĂ© 2018 » proposant diverses activitĂ©s telles que la relaxation, la balade, lâĂ©criture, les arts graphiques, les senteurs-saveurs, la musique, les dĂ©bats sur un film visionnĂ© en commun.
Au bilan de cette session, il Ă©manait de plusieurs participants le dĂ©sir de faire part de leurs ressentis et de lâaide apportĂ©e par ces ateliers.
Il apparaissait comme important de pouvoir traduire lâaide thĂ©rapeutique Ă©prouvĂ©e en rĂ©ponse aux initiatives des Ăducateurs. Ceci dans le but de faire remonter les rĂ©actions de chacun des participants.
Ainsi naissait lâidĂ©e de la crĂ©ation dâun « Blog des Usagers »âŠâŠ.
Par le biais de cette crĂ©ation collective et la motivation de chacun, nous sommes parvenus Ă rĂ©aliser ce blog. Ainsi chaque partie, Intervenants et Participants, peut jauger de lâintĂ©rĂȘt de cette thĂ©rapie en complĂ©mentaritĂ© du soutien psychologique.
Câest en soi un vĂ©ritable accompagnement.
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- Est-ce que votre participation en tant quâ Usager est importante ?
Cette participation trĂšs importante crĂ©e un Ă©change entre Ăducateurs et Patients, permettant Ă chacun de mieux se positionner dans cet accompagnement et cette aide Ă la rĂ©habilitation.
Jean-Claude
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Par cette expérience devant une assemblée
de professionnels médico-sociaux au Conseil Régional, s'exprimer depuis la tribune de l'hémicycle était un exercice difficile demandant une prise d'assurance et de courage sur soi notoires. ainsi qu' une affirmation de soi impérative.
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www/Â jeessee-ressentis.fr