L'analyse et la méthodologie de cet exercice me rendent plus disponible à l'écoute et plus attentif aux autres.
L’expression orale, rebaptisée "production orale" de référence, est une compétence que les apprenants doivent progressivement acquérir, qui consiste à s’exprimer dans les situations les plus diverses.
Il s’agit d’un rapport interactif entre un émetteur et un destinataire, qui fait appel également à la capacité de comprendre l’autre. L’objectif se résume en la production d’énoncés à l’oral dans toute situation communicative. Les difficultés ne sont pas insurmontables, mais il s’agit d’une compétence qu’il faut travailler avec rigueur, et qui demande à surmonter des problèmes liés à la prononciation, au rythme et à l’intonation, mais également des problèmes liés à la compréhension (en situation interactive), à l’oral…
La forme de l’expression orale se compose:
De la voix: de son volume, de l’articulation, du débit, de l’intonation. Le volume doit être adapté à la distance. En français, les apprenants devront plus soigner leur articulation et le débit. L’intonation doit être expressive et significative.
Des pauses, des silences, des regards. En effet, c’est par le regard par exemple que l’on pourra vérifier si l’on a été compris. Les pauses et les silences sont aussi significatifs, et il est important d' apprendre aussi à en user.
Du non verbal: gestes, sourires, signes divers…On se fera mieux comprendre en étant détendu et décontracté, en illustrant ce que l’on dit avec des gestes naturellement adaptés.
L'expression orale en pratique :
Quand on évoque l'expression orale, on pense tout de suite a l'orateur, c'est-a-dire a la parole en public. L’œuvre du tribun c'est le discours, sa qualité, l’éloquence.
Et on regrette de nos jours qu'il n'y ait plus de grands orateurs. Ainsi
A. SAUVY constatant la carence des énarques et des économistes rappelle le souvenir de A.BRIAND :
« quand il faisait un discours sur la monnaie, il avait le verbe, et 325 parlementaires votaient pour lui »
Mais l'expression orale n'est pas seulement le fait de l'orateur. Ils sont nombreux, ceux dont le métier a pour instrument de communication privilégié, la parole:
l'enseignant, le journaliste, le conseiller, le médecin, l'assistante sociale, l'avocat, l'homme d'affaires, le commerçant ...
Pour tous ceux-la, il est bien nécessaire de s'interroger sur la part qui revient a leur manière d'exploiter les ressources de la parole dans leur efficacité professionnelle, leur réputation, l'aide qu'ils apportent ou l'influence qu'ils exercent. Cela est d'autant plus nécessaire que l’expression orale n’apparaît à aucun moment en tant qu'objet d’étude, de formation ou de perfectionnement dans le cadre de l'acquisition de leur métier.
Enfin, il faut penser également a tous ces orateurs occasionnels qui, le temps d'une réunion, d'une assemblée ou d'une discussion, ont a parler en public. Dans le même ordre d’idée, nous devons songer aussi aux employés installes derrière un guichet, aux hôtesses des bureaux d'accueil, aux secrétaires, aux standardistes, aux vendeurs. Pour tous, la parole est la clef d'un bon usage de leur compétence professionnelle; leur manière de s'exprimer influence le réseau de relations et la qualité des liens qu'ils établissent de façon durable ou temporaire.
Produire du langage nécessite de choisir ses mots. Dire de quelqu'un qu'il est avare, plutôt que pingre, chiche ou encore radin, voilà qui nécessite un choix parmi un ensemble de mots possibles pour exprimer une même idée.
Quels sont les facteurs qui influent sur ce choix, sur la vitesse d'accès aux mots de notre répertoire lexical ?
Le système de production de la parole est le plus souvent efficace en ce qu'il erre rarement. Les erreurs de production sont rares : selon certaines estimations, nous commettons une erreur de sélection de mots moins d'une fois pour 1 000 mots produits ! Aussi, le choix des mots se fait-il la plupart du temps rapidement. Selon Willem Levelt, la vitesse d'émission de la parole dans une conversation normalement fluide est d'environ quatre syllabes et une dizaine de phonèmes (voyelles ou consonnes) par seconde.
Les mots que nous produisons sont sélectionnés à partir d'un répertoire mental – le lexique mental – qui contient entre 50 000 et 100 000 mots chez un adulte cultivé. Nous n'avons pas conscience des mécanismes complexes qui président à la production de phrases ou de discours. Nous ne faisons que de rares erreurs de production – les lapsus – et, parfois, nous sommes dans l'incapacité ponctuelle de récupérer un mot que nous connaissons par ailleurs, c'est-à-dire que nous avons le « mot sur le bout de la langue ».
« Plaire, émouvoir et convaincre par la force »
c' est ainsi que Cicéron définissait l'éloquence au premier siècle avant notre ère. Vingt siècles plus tard, les trois piliers de l'art oratoire n'ont pas changé. Mais l'heure est à la mobilisation générale dans ce domaine. Le ministre de l'Éducation nationale, souhaite que les élèves soient désormais formés à la prise de parole.
Et le pays tout entier a envie de s'exprimer à haute voix. Enivrés par les réseaux sociaux, les Français se sentent légitimes à donner leur avis. Ils ont soif de dialogue, veulent être acteurs de la société et ne plus laisser la parole aux seuls politiques. Emmanuel Macron l'a bien compris en organisant le grand débat en réponse au mouvement des Gilets jaunes.
Se prendre au jeu
Mais les vertus de l'éloquence ne sont pas simplement démocratiques : elles sont aussi ludiques. Les Français s'entraînent aussi et s'amusent à tout âge dans des concours d'éloquence. Ils ont compris que les joutes oratoires ne sont plus réservées aux avocats en mal de plaidoiries ou aux professionnels de la politique : elles déchaînent les foules et leurs captations vidéo font s'emballer les compteurs de YouTube.
Dans les entreprises, la prise de conscience de l'importance du bon maniement de l'oral dépasse l'organisation de concours organisés en interne, comme c'est le cas à la SNCF par exemple : les dirigeants savent que leurs salariés doivent être à l'aise lorsqu'ils s'expriment et leur proposent ainsi des formations spécifiques. Les recruteurs jaugent aussi les candidats à leur degré d'éloquence, parfois même avant d'autres aptitudes techniques.
L'enseignement supérieur s'est donc adapté et les grandes écoles préparent leurs étudiants de manière quasi systématique : « Étudier la rhétorique est assez nouveau en France, mais c'est pourtant une grande tradition dans le monde anglo-saxon ».Conséquence logique de cet appétit féroce pour l'oral tous azimuts, le secondaire s'y est mis.
Depuis 2018, le Diplôme national du brevet comporte désormais une épreuve orale, et les bacheliers de 2021 devront passer un « grand oral ».
La rhétorique est à la fois la science et l'art de l'action du discours sur les esprits. Le mot provient du latin rhétorica, emprunté au grec ancien ῥητορικὴ τέχνη (rhêtorikê tekhnê), qui se traduit par « technique, art oratoire ». Plus précisément : « telle qu’elle a été élaborée par la culture de la Grèce antique, la rhétorique peut être considérée comme une théorie de la parole efficace liée à une pratique oratoire. »
La rhétorique est d’abord l’art de l’éloquence. Elle a d’abord concerné la communication orale.
La rhétorique traditionnelle comportait cinq parties :
l’inventio (invention ; art de trouver des arguments et des procédés pour convaincre),
la dispositio (disposition ; art d’exposer des arguments de manière ordonnée et efficace),
l’elocutio (élocution ; art de trouver des mots qui mettent en valeur les arguments → style)
l’actio (diction, gestes de l’orateur, etc.)
la memoria (procédés pour mémoriser le discours).
La rhétorique a ensuite concerné la communication écrite et a désigné un ensemble de règles (formes fixes) destinées au discours. Au xxe siècle, la linguistique et l’analyse des textes littéraires ont relancé l’intérêt pour la rhétorique.
La rhétorique s'est ainsi progressivement restreinte à la stylistique c'est-à-dire à un inventaire de figures relevant des ornements du discours. Il en résulte une conception de la parole rhétorique qui se distingue de l'argumentation et de la dialectique par l'usage d'effets pathétiques et éthiques du discours sur le public. Contre cette évolution, l'école rhétorique contemporaine renoue avec la rhétorique grecque en proposant une « nouvelle rhétorique » qui est une théorie de l'argumentation.
L’ é l o c u t i o n
Le langage (la compréhension verbale et l'expression verbale de la pensée) a son centre au cerveau, tout comme les autres fonctions dites supérieures (intelligence, mémoire, etc.)
Le langage peut être atteint au niveau de la compréhension, de l'expression ou encore des deux.
L'élocution relève des diverses structures qui sont responsables de la prononciation.
La compréhension d’autrui dépend de la diction.
La prononciation et l’intonation en sont les vecteurs.
Comment avoir une bonne élocution ?
Comment améliorer son élocution pour parler en public ou en conversation avec charisme ?
Si tu as des problèmes d’élocution, des troubles de l’élocution, ou simplement du mal à t’exprimer clairement, lis ce qui suit !
- Parler de manière claire, nette, et précise, pour transmettre un message à son auditoire.
- Savoir être une personne éloquente pour tenir une conversation ou une prise de parole sans bafouiller. C’est ce qu’on va voir dans cet article.
Aujourd’hui on va parler élocution et je vais vous donner 3 différentes clés pour vous faire facilement comprendre par un public. L’élocution, c’est finalement le fait de faire passer des sons de votre bouche à l’oreille de vos auditeurs sans que cela soit perturbé. Voyez cela comme une file ininterrompue qui voyage de votre bouche à l’oreille de qui vous écoute.
Avoir une meilleure élocution c’est primordial ?
Dans un premier temps, j’aimerais dédramatiser l’aspect psychologique d’une mauvaise élocution.
Est-ce vraiment grave de bafouiller, de répéter plusieurs fois le même mot ? De bégayer ?
Si aujourd’hui vous vous trompez comprenez bien qu’il n’y a rien de grave à ça ! Mais je ne connais personne qui est capable de parler sans jamais se tromper. De plus, le fait de ne jamais se tromper fait que vous ne montrez jamais au public vos défauts. Ce qui n’est pas forcément un avantage. Les défauts montrent que vous êtes comme le public, montrer des points de faiblesse rend authentique votre personnage. Cela le rend plus humain.
Par conséquent, quel que soit votre niveau actuel et vos problèmes d’élocution, se tromper n’est rien de grave.
C’est le fait de stresser, de penser que cela gêne le public, qui vous générera un problème. Trop de personnes, lorsqu’elles parlent en public, ont tendance à oublier ce qu’ils étaient en train de dire tellement cela les perturbe. Donc pour avoir une bonne élocution, on respire, on se détend, et on ne panique surtout pas.
Jouez sur le débit de parole pour avoir une meilleure élocution
Le deuxième conseil, c’est de jouer sur votre débit de parole pour avoir une meilleure élocution.
En effet, la plupart du temps, lorsqu’une personne se répète ou bégaye, c’est parce qu’elle parle trop vite. Donc si vous apprenez à parler plus lentement, vous allez mieux articuler et améliorer par ailleurs votre respiration.
Savoir gérer son débit de parole est une qualité primordiale pour faire une bonne prise de parole. Cela vous permet d’avoir le temps de communiquer vos informations, de vous adapter à la situation, et d’avoir une bonne élocution. Pour cela, apprenez à utiliser correctement le silence à l’oral. Après la fin d’une partie importante : un silence. Après une définition : un silence. Après l’utilisation de vocabulaire ou de formule complexe : un silence.
Laissez au public le temps d’assimiler ce que vous venez de lui communiquer. Et laissez-vous le temps de préparer ce que vous allez dire.
Si brusquement vous vous apercevez que vous ne contrôlez plus le rythme de votre prise de parole, laisse un blanc.
Il ne faut jamais que vous soyez emporté par votre discours. Ainsi, avec un débit de parole rythmé de silence, vous aurez une meilleure élocution.
Modifiez votre tonalité pour avoir une meilleure élocution
Troisième point important sur lequel vous pouvez travailler pour avoir une meilleure élocution. La tonalité correspond à la hauteur d’une note en musique. En bref, il s’agit de faire varier les sons qui sortent de votre bouche : des graves et des aiguës.
Par exemple, à la fin d’une phrase, vous êtes censé avoir une voix qui part dans les graves. Avec un volume (fort ou faible) qui diminue. Ainsi, en jouant sur la tonalité de votre voix, vous allez indirectement plus articuler. Ce qui est le sujet du point bonus.
BONUS : la méthode du stylo pour avoir une bonne élocution
Voyons désormais un exercice assez connu pour améliorer son éloquence et surtout sa diction. Vous prenez un stylo, vous le glissez entre vos dents, vous mordez dedans, puis vous essayez de parler en restant dans cette configuration. Le fait d’avoir le stylo vous force à bien articuler et accroître votre potentiel d’élocution.
Je conçois que la position est assez ridicule mais la méthode est très efficace ! C’est un exercice que vous pouvez faire avant une prise de parole, en aparté par exemple.
Sinon il est recommande de le faire 10 minutes le matin. Si vous voulez des résultats rapides et efficaces, faites-le tous les matins. Sinon, trois fois par semaine et au bout d’un mois, vous verrez déjà les premiers résultats.
Vous pouvez combiner cette technique avec celle des phrases complexe comme :
- Le postiche de l’archiduchesse est plein de glaise.
- La chemise du chimiste sèche.
- Si je mouille mes coudes. Mes coudes se mouillent -ils ? Oui, mes coudes se mouillent.
- La maman du manant manie nos manies maniaques sans manière.
- La pie pond sans piper devant le paon pompeux qui papote.
- Le respectable spectre du spectacle inspecte l’estrade esquintée.
- Natacha n’attacha pas son chat pacha qui s’échappa, cela fâcha Sacha qui chassa Natacha.
- Trop ou trop peu qu’importe que la troupe soit trop peureuse si elle est trop heureuse.
Résumé pour développer son élocution orale :
Enfin, en guise de conclusion, parlons un peu des solutions médicales qui s’offre à vous. Vous pouvez très bien aller voir un orthophoniste pour qu’il diagnostique avec vous votre situation.
Je sais que certaines personnes n’ont pas la chance de grandir avec une facilité à s’exprimer, mais des solutions existes ! Donc pas d’excuse pour ne pas parler distinctement et s’intéresser à l’art oratoire ! Tout le monde peu réussir à bien s’exprimer et captiver son public.
Autre solution, vous pouvez suivre une formation prise de parole en public.
Voilà, vous connaissez maintenant différentes méthodes pour avoir une meilleure élocution. L’élocution est extrêmement importante car si vous n’êtes pas compréhensible à l’oral, votre message ne sera pas compris.
Vous aurez donc peut-être préparé votre sujet pendant des semaines, pour arriver devant un public qui ne vous comprend pas. C’est dommage !
Alors à vous de jouer pour obtenir une bonne élocution pour vos prochaines prises de parole en public.
Il y a des verbes qui se conjuguent très irrégulièrement
Par exemple le verbe OUÏR
Le verbe OUÏR, au présent, ça fait:
J’ois… J’ois.…
Si au lieu de dire
« j’ entends», je dis « j’ ois»
les gens vont penser que ce que j’ entends est joyeux, alors que ce que j’entends peut être particulièrement triste!
Il faudrait préciser : «Dieu que ce que j’ ois est triste !»
J’ois …
Tu ois …
Il oit …
Oyons-nous ? ...
Vous oyez …
Ils oient ...
C’est bête ! :
L’oie oit. Elle oit, l’oie !
Ce que nous oyons, l’oie l’oit-elle ?
Si au lieu de dire « l’oreille » on dit «l’ouïe» , alors :
" l’ouïe de l’oie a oui."
Pour peu que l’oie appartienne à Louis :
« l’ouïe de l’oie de Louis a oui».
- « Ah oui ? Et qu’a oui l’ouïe de l'oie de Louis ?»
- « Elle a oui ce que toute oie oit ...»
- « Et qu’oit toute oie ? »
- « Toute oie oit, quand mon chien aboie le soir au fond des bois,
toute oie oit : ouah! Ouah! … qu’elle oit l’oie ! ...»
(Raymond Devos)
CEINTURE DE SÉCURITÉ
Madame , Monsieur,
je ne voudrais pas vous affoler,
mais des «fous», il y en a !
Dans la rue on en côtoie…
Récemment, je rencontre un monsieur,
il portait sa voiture en bandoulière !
Il me dit :
- «Savez-vous comment on détache cette ceinture ?»
Je lui dis :
- «Dîtes-moi ! Lorsque vous l’avez bouclée, est-ce que vous avez entendu un petit déclic ?»
Il me dit :
- «Oui, dans ma tête ! »
je me dis :
«ce type est fou à lier !»
J’ai eu envie de le ceinturer …
mais quand j’ai vu que sa ceinture était noire …je l’ai bouclée !!
Raymond Devos
" APPELONS UN CHAT UN FÉLIDÉ !!!!!!!! "
Je viens de recevoir ce texte d'un parent d'élève et ne résiste pas à sa diffusion, tellement c'est
drôle, mais aussi affligeant !
"Désolée je ne peux pas m’en empêcher. Je crâaaque !!!!!!!!!!!!!!!!!!
Amatrice inconditionnelle de la novlangue pédante, bureaucratique et politiquement correcte, je me dois de partager avec vous les dernières découvertes
":
Déjà cet été, j’ai adoré les campings qui ne veulent plus qu’on les appelle campings parce que ça suscite instantanément dans l’esprit des gens l’image de Franck Dubosc en moule-boules ou de
Roger et Ginette à l’apéro avec casquette Ricard et claquettes Adidas. Donc les professionnels de la branche demandent que l’on dise désormais « hôtellerie en plein air ». Ha ha !
J’ai aussi appris que je n’étais pas petite mais « de taille modeste » et qu’un nain était une «
personne à verticalité contrariée ». Si, si .......
Mais rendons à César ce qui lui appartient, l’empereur du genre reste le milieu scolaire et ses pédagos à gogo. J’étais déjà tombée de ma chaise pendant une
soirée de parents quand la maîtresse a écrit sur le tableau que nos enfants allaient apprendre à manier « l’outil scripteur » au lieu de tenir
un crayon.
Je me suis habituée au fait que les rédactions sont des « productions écrites », les courses d’école des «
sorties de cohésion » et les élèves en difficulté ou handicapés des « élèves à besoins éducatifs
spécifiques ».
Mais cette année, sans discussion aucune, la palme est attribuée au Conseil supérieur des programmes en France et à sa réforme du collège.
Z’êtes prêts ?... Allons-y !
Donc, demain l’élève n’apprendra plus à écrire mais à « maitriser le geste graphomoteur et automatiser progressivement
le tracé normé des signes alphabétiques ».
Il n’y aura plus de dictée mais une « vigilance orthographique ».
Quand un élève aura un problème on tentera une « remédiation ».
Mais curieusement le meilleur est pour la gym… oups pardon ! pour l’EPS (Education physique et sportive).
Attention, on s’accroche !!!! : courir c’est « créer de la vitesse », nager en piscine c’est «
se déplacer dans un milieu aquatique profond standardisé et traverser l’eau en équilibre horizontal par immersion prolongée de la tête
»,
et le badminton est une « activité duelle médiée par un volant ».
Ah! c’est du sportif, j’avais prévenu !...
Les précieuses ridicules de Molière, à côté, c’est de l’urine de jeune félidé (je n’ose pas dire du pipi de chat !).
Alors, les amis, ne perdons pas ce merveilleux sens du burlesque et inventons une nouvelle catégorie : la « personne en cessation d’intelligence » (P.C.I) autrement dit, le con. (C.O.N)
Signé
Martina Chyba, (parent d’élève).
Ah non (!), re-pardon Martina Chyba, «génitrice d’apprenant ».
Ben oui,
un "outil scriptutaire" c'est un stylo, 🖋
un "référentiel bondissant" c'est un ballon, 🏀
et un " bloc mucilagineux à effet soustractif " c'est une gomme.✏
Je pense que les "zzzzzzzélites" qui ont inventé de telles conneries devraient tous être en hôpital
psychiatrique..."
(Élocution ou élucubration... ???)
Elite rarement épuisée ...
Et littérairement épuisée ...
www/ jeessee-ressentis.fr